Vous sentant vulnérable, vous mobilisez constamment vos énergies à prendre des précautions. Car si vous vous laissiez aller à la sensibilité, on pourrait ne faire de vous qu'une bouchée ! Si vous éprouvez le besoin de vous protéger en ne vous embarquant pas dans n'importe quelle aventure, vous estimez ne faire preuve que d'une prudence parfaitement légitime.
Vous ne pouvez vous empêcher de réagir d'une façon très émotionnelle à votre environnement. Vos sentiments, vos sensations joueront toujours un rôle important dans votre vie. Mais c'est à vous de les canaliser, comme par exemple de ne les laisser s'exprimer qu'au bon moment. Dans ces conditions, la permanence de vos émotions peut faire votre force ; mais elle peut aussi, bien évidemment, être pour vous un handicap.
Profondément rattaché à l'enfance, vous avez plus qu'un autre du mal à accepter de couper le cordon ombilical et à passer au monde des adultes. Votre inconscient est tout entier relié à la petite enfance. Votre regret d'un passé à jamais disparu est compensé par une vie imaginative intense à travers laquelle vous tentez de retrouver sensations ou émotions lointaines, ou de vous construire un monde qui ressemblerait au paradis perdu.
Vous êtes incapable de méchanceté. Loué ou calomnié, caressé ou battu, votre réaction est presque toujours ce sourire que d'aucuns pourraient parfois qualifier de stupide. Ne faisant jamais de mal même à une mouche, il vous est impossible de croire qu'il existe des gens sans scrupules qui peuvent vous nuire en trouvant en vous une victime presque consentante.
Vous détestez le mensonge, la duplicité, et tenez à votre réputation d'intégrité et de sincérité comme à la prunelle de vos yeux. Votre tolérance est légendaire. Mais vous devriez vous méfier de votre naïveté et de votre crédulité excessives. En effet, vous êtes très enclin à prendre pour argent comptant tout ce qu'on vous raconte, vous exposant ainsi à bien des déboires et déceptions.
Toute votre vie, vous cherchez à éviter ou à désamorcer les situations de tension ou de conflit. Vous fuyez querelles et disputes comme la peste. Vous accepteriez volontiers de perdre la face ou de l'argent plutôt que de déplaire aux autres.
Autre:
- Enzo doit tout ou partie de sa gloire au cinéaste Luc Besson : c’est en 1988 que Le Grand Bleu fait sensation au cinéma et qu’Enzo, l’un de ses héros, séduit le public. Un an plus tard, cette forme italienne d’Henri s'envole si vite qu'elle atteint le sommet du classement français en 2004. Malgré son reflux, Enzo reste bien placé dans le palmarès.
- Fils naturel de l’empereur germanique Frederic II, Enzo devint roi de Sardaigne en 1242. Aux côtés de son père, il combattit le pape et les Génois à la Meloria. Après avoir conquis la plus grande partie du Milanais, il fut vaincu et capturé. Prisonnier, il fut assigné à résidence dans un palais bolonais où il établit une cour somptueuse jusqu’à sa mort, en 1272.
Et aussi:
- Le Palais du roi Enzo (Palazzo re Enzo en Italien) est un palais de Bologne du XIIIe siècle, en Italie du Nord. Il tire son nom de Enzo de Sardaigne,(fils de Frédéric II), qui y a été emprisonné de 1249 jusqu'à sa mort en 1272.
Le palais a été construit en 1245 en complément du Palazzo del Podestà, qui s'était révélé insuffisant pour les exigences de la Commune de Bologne. Il a été initialement connu sous le nom de Palatium Novum (« Nouveau palais »). Peu après son achèvement, Enzo fut capturé par les Guelfes lors de la bataille de Fossalta, et a été transféré ici après un court séjour à Anzola dell'Emilia . Enzio aurait été laissé libre dans le palais de jour, mais la nuit il aurait été emprisonné dans une cage suspendue au plafond. Il a été également autorisé à rencontrer des femmes. Selon une légende, un fruit de l'une de ces rencontres aurait été un Bentivoglio (« je te veux du bien »), qui serait l'ancêtre des princes Bentivoglio de Bologne. En 1386 Antonio di Vincenzo acheva la Sala dei Trecento (« Salle des Trois-Cent »), qui allait devenir la salle des archives de la ville . Le dernier étage a été rénové en grande partie en 1771 par Giovanni Giacomo Dotti. L'apparence actuelle en style gothique date de la restauration de 1905 par Alfonso Rubbiani. Sur la droite du palais se trouve la porte d'accès à la chapelle de Santa Maria dei Carcerati, où se rendaient les condamnés à mort. Au premier étage on trouvait le Carroccio et les machines de guerre, les bureaux du préteur et la chapelle occupaient l'étage du milieu et les archives notariales le reste.