Kenji

Signification:

Kenji veut dire "tenir fermement", "loi", "ordre" en japonais.

On peut aussi décomposer le prénom: Ken signifiant "sain, santé, persistance" et Jin signifiant "déborder, gouverner, remédier à, guérir".

Fréquence:

Ce prénom rare est porté par près de 800 personnes en France. il est très peu attribué aujourd'hui. Depuis 1900, 700 enfants ont été prénommés Kenji dont 700 depuis 1950. Le maximum a été atteint en 2006 avec 60 naissances (jusqu'en 2007).

Fête:

Le 28 septembre.

Caractérologie:

Sécurité, structure, persévérance, efficacité, résolution.

Vous êtes porté par un certain orgueil ou une certaine fierté, et très axé sur l'action. Si vous subissez la perte brutale d'une motivation, de votre foi en l'action, vous serez enclin à vous installer dans une névrose d'échec - car il est moins douloureux pour l'orgueil d'être vous-même responsable de votre insuccès que de vous le voir imposé par autrui. Parfois, cependant, vous choisirez d'ignorer purement et simplement l'échec en continuant comme si de rien n'était, remplaçant ainsi la foi par la ténacité.

Vous souffrez beaucoup quand la différence est trop grande entre le rêve que vous entrevoyez et la réalité que vous vivez. Votre sur-moi est exagéré, et peut vous porter à une exigence excessive, tant vis-à-vis de vous-même que des autres.

On vous reproche souvent d'être égocentriste. Dans toute entreprise commune, vous avez trop tendance à tirer la couverture à vous pour vous faire valoir, sans faire ressortir la part qui revient à tel ou tel de vos collaborateurs. Bien entendu, c'est vous qui suscitez les choses, éveillez l'inspiration, stimulez le dynamisme. Mais il vous arrive rarement à l'esprit que les autres s'accommodent mal d'être des pions sur votre échiquier personnel. Eux aussi aspirent à être valorisés. On accepte de vous votre orgueil légitime, mais vous vous discréditez lorsque celui-ci n'est plus que de la vanité.

En fait, ce prénom fournit trois catégories différentes de natifs. Il y a d'abord le natif généreux, enthousiaste, énergique. C'est principalement votre cas : vous avez non seulement le désir mais aussi les capacités du commandement, de l'autorité. Votre rayonnement vous attire tout naturellement une petite cour ; et comme vous appréciez d'être le point de mire de votre entourage, vous assumez facilement les responsabilités. C'est dans ce cas que vos tendances autoritaires risquent de prendre le dessus et de vous inciter à faire trop bon marché des intérêts des autres. Mais on vous le tolère parce qu'on reconnaît votre valeur.

Il se peut que vous vous attachiez plus à une idée qu'à une réalisation matérielle, concrète ; vous appartenez ainsi - mais plutôt épisodiquement - à la deuxième catégorie de natifs de ce prénom. Vous recherchez alors l'autorité morale plutôt que la puissance personnelle. Mais cela aussi peut susciter certains problèmes, car vous avez tendance à penser que les autres ne peuvent se tirer d'affaire sans vous, et vous vous montrez enclin à trancher et à décider à leur place. Vous vous sentez comme le chef d'orchestre de votre entourage et voulez imposer, parfois d'une façon très dogmatique, votre point de vue. Vous avez tendance à être trop catégorique, trop rationnel, et à considérer comme immuables et indiscutables les valeurs que vous appréciez.

Parfois, vous appartenez à la troisième catégorie de natifs de ce prénom, et alors on pourrait vous trouver "froid". Vous êtes non plus chaleureux mais distant, non plus épanoui mais aigri, non plus plein d'envergure mais soucieux uniquement de la gloriole.

Dans tous les cas, vous avez besoin du succès plus que les natifs des autres prénoms. Des échecs répétés vous minent, et vous avez beaucoup de peine à vous en remettre. Vous aimez trop le concret et le stable pour vous sentir à l'aise dans le précaire ou le transitoire.

Autre:

Prénom traditionnellement attribué au deuxième garçon au Japon.

Kenji peut s'écrire en utilisant différentes combinaisons de kanjis et avoir différentes significations. Les kanjis sont les éléments d'un des trois ensembles de caractères de l'écriture japonaise avec les hiraganas et les katakanas:

  • Sage & Second (enfant)

  • (bonne) Santé & Second (enfant)

  • (bonne) Santé & Prochain (enfant)

  • Modeste & Second (enfant)

  • Recherche & Second (enfant)

  • (bonne) Constitution & Prochain (enfant)

  • (bonne) Santé & Règne

  • (bonne) Santé & Gouverne/Décide

  • Sage & Gouverne/Décide

  • Santé

Autre:

- Kenji Comes Home (littéralement Kenji rentre à la maison) est un film documentaire américain réalisé par Paul F. Heard en 1949. Ce documentaire raconte l'histoire de Kenji, un prisonnier de guerre qui revient au Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Le film fut nommé pour l'Oscar du meilleur film documentaire.

 
 
Personnalité: 

                         Acteur / Réalisateur / Scénariste

- Kenji Ôba, né Kenji Takahashi le 5 février 1955 à Matsuyama (Ehime) au Japon, est acteur connu mondialement grâce à la série X-Or.



À 16 ans, il rentre au Japan Action Club (école de cascade et de théâtre) où il sera l'un des meilleurs élèves du célèbre Sonny Chiba, tout en réalisant ses cascades et des scènes de combat. Avec ses 170 cm pour 62 kg, Kenji Ôba devient un habitué de ce genre de programmes de télévision. Sa carrière commence par un rôle de monstre dans Kikaider en 1972, puis dans San Ku Kaï: il y apparaît pour la première fois à visage découvert dans l'épisode no 15. Il faut attendre en 1982 pour qu'il ait le rôle marquant de X-Or, série populaire en France diffusée dans l'émission Récré A2. Il s'était retiré de sa carrière d'acteur afin de rester auprès de sa famille. Aujourd'hui il continue à se produire dans des spectacles avec sa troupe (la troupe Lamy) dans sa région natale Ehime.

- Kenji Kamiyama, né le 20 mars 1966 à Chichibu, dans la Préfecture de Saitama, est un réalisateur japonais d'animation.



Il a travaillé sur de nombreux projets pour le studio d'animation Production I.G, spécialisé dans l'anime et en collaboration avec Mamoru Oshii qui lui confie dès 1999 la direction de l'animation de Jin-Roh: La brigade des loups basé sur le premier volume de son manga Kerberos Panzer Cop. En 2000 il participe au moyen-métrage d'animation Blood: The Last Vampire basé sur la série de romans Blood: The Last Vampire. Il devient alors réalisateur à part entière avec le projet original Minipato, une série de trois court-métrages d'animation SD toujours supervisé par son mentor. Fort de ce succès, le studio Production I.G lui confie la réalisation de l'ambitieuse série Ghost in the Shell: Stand Alone Complex, dont il est à l'origine du concept original discuté avec Oshii, puis sa suite Ghost in the Shell: Stand Alone Complex 2nd GIG marqué de son empreinte sombre tout comme le long métrage adapté de la série Ghost in the Shell: S.A.C. Solid State Society en 2006. Il réalise la série Seirei no moribito sortie en 2007.

Kenji Misumi né le 2 mars 1921 à Kyoto et décédé le 24 septembre 1975 est un réalisateur japonais, ayant tourné entre autres Baby Cart. Kenji Misumi s’est fait connaître dans les années soixante et soixante-dix pour avoir initié deux célèbres séries de chambara, Zatoïchi et Baby Cart. Né d’une relation illégitime et adopté par sa tante, il se passionne très tôt pour les héros de film de sabre, la littérature et la peinture moderne. Une fois ses études terminées, il entre à la Nikkatsu en 1941 où il est assistant réalisateur. Un an plus tard, il est mobilisé et envoyé en Mandchourie. Prisonnier par l’armée soviétique après la défaite japonaise, il est envoyé en Sibérie. A son retour, en 1948, Misumi est profondément marqué par cette expérience et ses proches diront avoir retrouvé un homme changé. Déstabilisé par la société qu’il retrouve alors, il décide de retravailler pour le cinéma. Il entre ainsi à la Daei où il est de nouveau assistant réalisateur, notamment de Teinosuke Kinusaga, cinéaste avant-gardiste des années vingt dont il a admiré le travail.



Kenji Misumi passe à la réalisation en 1954. Il gagne rapidement la confiance de la Daei avec quelques séries populaires auprès du grand public comme Satan’s Sword (1960) avec l’acteur Raizo Ichikawa. Après quelques films de fantôme comme Ghost-Cat Wall of Hatred (1958), Bouddha (1961), son film épique à grand spectacle sauve la Daei de la faillite. En 1962 il réalise le premier épisode de la série Zatoichi, dont il tournera plus tard cinq autres épisodes. La même année, Misumi tourne le premier volet de sa trilogie du sabre, Tuer !, un film parfait, sorte de chambara bressonien au style dense et épuré complété par Le sabre (1964) et La lame diabolique (1965). Durant les années soixante-dix, il connaîtra le succès avec son autre grande série, adaptée d’un manga, Baby Cart (1972), dont il réalise les trois premiers épisodes ainsi que le cinquième. Avec son style graphique et son grand sens du découpage, des plans comme des corps, Misumi révolutionne le chambara comme Daisuke Ito à son époque. Monument sanguinolent et d’une violence paroxystique, Baby Cart fait depuis l’objet d’un culte international.

Kenji Mizoguchi est un réalisateur japonais, né le 16 mai 1898 à Tôkyô, mort le 24 août 1956 à Kyôto. Mizoguchi naît à Tôkyô en 1898. Sa famille, malgré l'ambition de son père, devient très pauvre après la crise économique de 1904. Il vit alors dans le quartier d'Asakusa, le plus pauvre de Tôkyô. Le père de Mizoguchi, un ancien charpentier, est violent envers sa mère et sa sœur qu'il vendra comme geisha. Ayant des difficultés à l'école, il devient apprenti peintre sur tissus. Il se passionne alors pour la peinture et obtient un diplôme dans une académie de peinture. Il travaille comme dessinateur publicitaire et dans un journal de Kôbe. En 1918, il participe à de violentes émeutes s'inspirant de la révolution russe qui lui font perdre son emploi. Il entre dans l'industrie du film en 1920 comme acteur pour le studio Nikkatsu puis devient rapidement assistant-réalisateur. En 1922, il réalise son premier film Le jour où l'amour revint imprégné de ses convictions socialistes et qui est censuré par le gouvernement. Au début de sa carrière, il réalise ses films rapidement, souvent des adaptations d'Eugene O'Neill, de Tolstoï ou des remakes de films expressionnistes allemands. Il tourne ainsi plus de 70 films dans les années 1920 et 1930 dont la plupart sont aujourd'hui perdus. Cette époque est marquée par son engagement contre la folie totalitaire dans laquelle bascule le Japon, et son intérêt pour les prostituées, qui sont tous deux transcrits dans ses films. Pour être plus indépendant, il fonde la Daiichi Eida Production qui fera rapidement faillite. Mizoguchi dira qu'il n'a commencé à tourner sérieusement qu'avec Les sœurs de Gion en 1936 qui connaît un important succès populaire. Il s'oriente dès lors vers le réalisme, au moyen duquel il montre la transition du Japon de la féodalité à la modernité. Il reçoit un prix du ministère de la culture avec Conte des chrysanthèmes tardifs qui étudie le rôle déprécié des femmes dans la société japonaise. Il développe sa célèbre approche « une scène/un plan », aidé par son talentueux chef décorateur Hiroshi Mizutani qui l'incite à utiliser des caméras grand-angles. Il réalise pendant la guerre des films de propagande pour Shochiku, la plus grande maison de production cinématographique japonaise. On peut citer Le Chant de la caserne, le célèbre La Vengeance des 47 rônins, et l'Épée Bijomaru qui lui permet d'éviter la prison.



Le Japon connaît après 1945 une vague de liberté dont Mizoguchi témoigne dans ses films militants pour le suffrage des femmes comme La victoire des femmes et Flamme de mon amour. Il craint à cette époque la répression anti-communiste et quitte en 1950 la Shochiku. Il se tourne vers des drames revisitant les traditions japonaises avec son scénariste et collaborateur Yoshikata Yoda. Il commence à être connu en Occident au début des années 1950 notamment grâce au critique et réalisateur Jacques Rivette. Son premier film reconnu est La Vie d'O'Haru femme galante en 1952, avant qu'il ne reçoive la consécration d'un Lion d'argent au festival de Venise l'année suivante pour Les Contes de la lune vague après la pluie. Il est encore récompensé en 1954 pour L'intendant Sansho et Les amants crucifiés. Il sera suivi par Akira Kurosawa, puis par Yasujirô Ozu. Mizoguchi touche par sa subtilité et sa poésie, non dénuées de noirceur et servies par des images en noir et blanc très travaillées. Entre 1953 et sa mort en 1956, tous ses films sont favorablement accueillis par la critique européenne et rencontrent leur public. Mizoguchi meurt à Kyôto d'une leucémie à l'âge de 58 ans. Il est aujourd'hui considéré comme un des maîtres du cinéma japonais à côté de Kurosawa, Ozu et Mikio Naruse, mais aussi du cinéma mondial.Entre 1923 et sa mort, il a réalisé quatre-vingt neuf films, dont deux en couleur.

Kenji Kodama, né lé 13 décembre 1949, est un animeka et scénariste japonais, principalement connu pour avoir été le réalisateur des anime City Hunter et Détective Conan. En 1977, Tokyo Movie Shinsha le nomme chara-designer sur Lupin III. En 1980, il réalise la deuxième saison de Signé Cat's Eyes. De 1987 à 1990, il réalise City Hunter (les trois saisons et les OVA). Depuis 1996, il s'occupe de l'anime Détective Conan. S'y ajoutent Kekkaishi en 2006 et Tales of the Abyss en 2008.



                         Sportif

- Kenji Suda (né le 26 février 1966) est un ancien sauteur à ski japonais.



- Kenji Ogiwara, né le 20 décembre 1969 à Kusatsu, est un ancien spécialiste japonais du combiné nordique. Il fut pendant trois ans hors d'atteinte remportant trois coupes du monde successives de la discipline, deux titres olympiques, et fut champion du monde durant la période entre 1992 et 1995. Lors des Jeux olympiques d'hiver de 1998 à Nagano, dans son pays, il fut désigné pour lire le serment olympique.



- Kenji Narisako ( né le 25 juillet 1984 à Saeki, préfecture d'Oita) est un athlète japonais, spécialiste du 400 m haies. Son meilleur temps est de 47 s 93 obtenu à Osaka le 6 mai 2006 et la même année il a été médaille d'or aux Jeux asiatiques.



- Kenji Fujimitsu (en japonais, Fujimitsu Kenji) (né le 1er mai 1986) est un athlète japonais, spécialiste du sprint.



- Kenji Kimihara, né le 20 mars 1941, est un ancien athlète japonais. Il a pris part à trois éditions des Jeux olympiques d'été. En 1964, il terminait huitième sur le marathon. Il a remporté la médaille d'argent aux Jeux olympiques d'été de 1968. Quatre ans plus tard, il finissait cinquième.

- Kenji Tokitsu (1er août 1947 - ), pratiquant d'arts martiaux et chercheur, est le créateur de l'Académie d'arts martiaux Tokitsu-Ryu. Né au Japon, diplômé de l'université Hitotsubashi, il se rend en France pour poursuivre ses études et s'y installer en 1971. Initié au Karaté Shotokan, il finira par s'en éloigner pour rechercher sa propre voie en étudiant les anciens katas d'Okinawa, le Kung Fu, le Taichi chuan, le Kendo, ainsi que différentes méthodes de santé. Le Tokitsu-Ryu est la somme et la synthèse personnelle de ses recherches martiales qui veulent allier l'efficacité du combat et la quête d'un équilibre harmonieux chez l'être humain. Kenji Tokitsu est en outre un universitaire reconnu dans le domaine des arts martiaux: sa traduction du Traité des cinq roues (Go rin no sho) de Musashi Miyamoto et ses ouvrages sur le Karaté sont considérés des références.



Kenji Tokitsu est né en 1947 à Yamaguchi au Japon. Il commence sa pratique du karaté en entrant au lycée puis continue assidûment à l’Université Hirotsubashi de Tokyo, parallèlement à ses études. En 1971, il quitte le Japon pour Paris, où il poursuit sa pratique du karaté et où il obtiendra, à l’Université de Paris, des doctorats en sociologie et en civilisation orientale. En 1983, il fonde l’école Shaolin-mon en mettant en cause les styles de karaté moderne dont il étudie les origines. Il examine notamment leur histoire et leur transmission, et découvre entre autres les filiations des écoles Shaolin. Il continue ensuite ses recherches en associant le principe du sabre japonais, les arts martiaux japonais et chinois et la méthode d’énergie. Ainsi en 1997, il refonde l’école dont le nom devient Jisei-do : méthode de formation de soi par la pratique du budo.

Kenji Midori (né le 18 avril 1962 à Amami-Ôshima, dans la préfecture de Kagoshima, au Japon) est un karatéka pratiquant le Kyokushinkai. Il fut double champion du monde en 1991 et préside la World Karate Organization, la NPO International Karate Organization et la NPO Kyokushinkaikan.



Au sud de l'île de Kyûshû, Kenji commence le karaté en 1978. Il se distingue rapidement en participant aux tournois les plus prestigieux du Japon, et, en 1985, remporte pour la première fois le All Japan Weight Division Tournament. Masutatsu Oyama, fondateur du Kyokushinkai, le prend sous son aile et le somme de remporter les championnats du monde, ce qu'il fera dans la catégorie -70 kg et Open lors des 5èmes championnats du monde en 1991. Après la mort de son mentor Mas Oyama, il décide de se séparer de la branche officielle (l'IKO, dirigé par Shian Shokei Matsui (en)) pour créer en 2003 la World Karate Organization, Shinkyokushinkai. Il a reçu sa sixième Dan le 26 novembre 2002. Kenji Midori est marié, il a deux fils et une fille. Malgré sa petite taille (1 m 65) et son poids léger, Kenji Midori a réussi à s'imposer dans la catégorie Open aux championnats du monde grâce à son agilité, sa vitesse d'exécution des mouvements et à l'utilisation de techniques spectaculaires (notamment le wheellkick (Tobi Kakato Otoshi) ou le maegeri sur pied d'appui) lui permettant de finaliser ses KO rapidement.

                           Doubleur

- Kenji Nojima, né le 16 mars 1976 à Tôkyô, est un seiyû (doubleur japonais). Il est marié à la seiyû Chie Sawaguchi.

- Kenji Utsumi, né le 26 août 1937 à Kitakyûshû, est un seiyû. Il est marié à Michiko Nomura et travaille pour Ken Production.

- Kenji Hamada (né le 12 avril 1972) à Fukuoka, est un seiyû japonais.

                            Compositeur / Chanteur

- Kenji Kawai compositeur japonais de musique de film, est né le 23 avril 1957 à Shinagawa, Tôkyô.



Style expérimental proche de la musique contemporaine. Compositeur de musiques de séries télévisées à ses débuts, il est surtout connu pour l'atmosphère glaçante et hypnotique qui se dégage de sa musique et pour sa collaboration avec le réalisateur Mamoru Oshii. Il utilise aussi des percussions de tous les coins du monde, comme pour Seven Swords, Ghost in the Shell ou Innocence : Ghost in the Shell 2. Il est un des compositeurs japonais de musique de films les plus connus, avec Joe Hisaishi et Ryûichi Sakamoto. Dans son enfance il a baigné dans un univers de musique de film et de variété française, dont son père était fan, il écoutait aussi ce qui passait à la radio. Au lycée il écoutait Santana et Deep Purple, ensuite, à la faculté, il était plus axé jazz-fusion.

- Kenji Itô, né le 5 juillet 1968 à Tôkyô, est un compositeur japonais de musiques de jeux vidéo, connu essentiellement pour ses musiques de la série des SaGa.



- Kenji Yamamoto est un compositeur japonais de musique de jeu vidéo travaillant pour la société Nintendo.On sait relativement peu de choses sur lui. Parmi ses bandes originales les plus célèbres on peut noter Metroid Prime, Metroid Fusion (en tant que "Sound Designer"), Metroid Prime 2: Echoes mais également Super Metroid et Metroid: Zero Mission (en collaboration avec Minako Hamano), mais également tous les Dragon Ball Z :Budokai. Ses dernières compositions sont celles de la bande originale du dernier Metroid de la Saga Metroid Prime 3: Corruption mais également celles de Dragon Ball: Raging Blast. 

Kenji Sawada ( 25 juin, 1948), surnommé "Julie", également connu comme chanteur pour le groupe de pop Japonaise Les Tigres, est un chanteur, compositeur, poète lyrique et acteur Japonais. Comme chanteur (souvent il a aussi travaillé comme parolier) et acteur, Sawada a progressé dans la culture populaire japonaise durant les trois dernières décennies de "l'ère Showa". À la fin des 1960s, il a réussi comme le chanteur principal du groupe the Tigres. Après la dissolution des Tigres et un autre projet "PYG", il a commencé une carrière solo. En solo, il a vendu plus de 12 millions de singles et est devenu la plus grande star masculine japonaise dans les années 1970 et 80. Durant les années 80, sa popularité étonnante a décliné rapidement, mais il a continué à travailler comme artiste à succès. Jusqu'à maintenant, il a vendu plus de 15 millions de disques, et est 36e artiste de pop au Japon.



Sawada était chanteur principal de J Pop dans les années 1960 avec le groupe the Tigers. Après avoir atteint le statue d'idole nationale, il reçut le surnom de "Julie". Les stars de pop japonaises de cette époque adoptaient souvent des surnoms féminins anglais. Son surnom provient de l'actrice Julie Andrews dont il est fan. Le groupe a été signé aux Watanabe Productions. En 1969, the Bee Gees ont été engagés pour composer deux chansons pour le groupe dans une tentative de percée internationale. Une des chansons fut un tube au Japon, Sourire intitulé Pour Moi et chanté par Sawada Kenji. À l'étranger, le disque n'a pas eu le succès escompté par les dirigeants de la watanabe et le groupe fut licencié par la production peu après. En 1970, après la séparation des Tigers, Sawada créa un nouveau groupe, PYG. Kenichi Hagiwara, principal rival de Sawada dans le groupe, était également chanteur. Le concept a fonctionné uniquement sur le papier, et a duré environ une année. Ils ont sorti un seul album. Quand PYG s'est séparé, Sawada avait déjà entamé une carrière solo, mais elle a tourné sous sa forme actuelle et comme sa forme principale d'expression artistique. Comme dans les années 1970, Sawada a commencé à porter des vêtements excentriques et à se maquiller, il a été considéré comme un innovateur influent et a été appelé le "David Bowie japonais". Plus tard il a été considéré comme le "Pionnier du Visual Kei" une fois que le terme "Visual Kei" fut utilisé. Sawada joue aussi du shamisen. En France, il fut connu pour avoir sorti son premier single Mon Amour, je viens du bout du monde.

                           Musicien

- Kenji Suzuki est bassiste, originaire de Gumma, sert de bassiste de support pour plusieurs groupes tels que Aoi, Fumiya Fujii. En ce moment, il fait partie du groupe japonais LM.C. Il joue du rock, du funk et autres mélanges de musique. Il est né le 16 mars 1979.



- Kenji Furuya, né le 9 février 1979 à Tokyo est un musicien japonais. Il est le leader charismatique de Dragon Ash, où il est parolier, chanteur et guitariste. Ce jeune prodige a su donner l'impulsion à son groupe pour que celui-ci atteigne le haut de l'affiche. Sa cote de popularité a rapidement monté en flèche auprès du public japonais après le succès des deux albums Viva la Revolution et Lily of da Valley. Il a même formé un autre groupe parallèlement à Dragon Ash : Steady & Co en compagnie de DJ Bots, de Ilmari du groupe Rip Slyme et de Shigeo du groupe SBK.

                           Poète

- Kenji Miyazawa , né le 27 août 1896 à Hanamaki dans la préfecture d'Iwate et mort le 21 septembre 1933, est un poète japonais et un auteur de contes. Il fut également connu pour sa ferveur bouddhique et son militantisme social. Kenji Miyazawa nait le 27 août 1896 à Hanamaki, ville située dans la région plutôt pauvre d'Iwate, dans une famille aisée de commerçants de vêtements. Très jeune il est ému par le sort de la paysannerie et tout particulièrement les problèmes liés au rendement des sols pauvres de la région. Il s'intéresse fortement à la géologie et se lance dans des études d'agronomie afin de pouvoir aider un jour la communauté agricole. Son intérêt et son engagement pour le monde rural sont une source de désaccord avec son père qui souhaite que son fils aîné reprenne l'affaire familiale. Étudiant doué, il intègre l'Ecole Supérieure d'Agronomie de Moriaka, de renommée nationale, où il suit des études de géologie. Sa passion pour la géologie, les mathématiques, l'astronomie émane de ses oeuvres. Durant quelques années, il travaille en tant que chercheur pour cette école et porte ses études sur l'amélioration de la fertilité des sols et les engrais avant de démissionner pour partir pour Tokyo. Il passera quelques mois dans l'effervescence de la grande ville, se consacrant à l'écriture et s'intéressant au milieu culturel. C'est la grave maladie de sa soeur cadette, Toshiko (avec qui, au sein d'une famille avec laquelle les rapports sont souvent houleux, il a tissé des liens très forts), qui le conduira à revenir à Hanamaki. La jeune femme a contracté une grave maladie et meurt le 22 novembre 1922. Il demeurera profondément marqué par cette perte. Kenji Miyazawa exerce de 1921 à 1937 la fonction de professeur à l'école agricole de Hanamaki. Les étudiants gardent de lui l'image d'un professeur passionné et un brin excentrique, préférant parfois donner cours en extérieur et s'impliquant dans la vie associative de l'école en permettant aux élèves d'interpréter des pièces de théâtres qu'ils auront écrites. Il contribue activement à la vie associative de sa région. Il crée une association réunissant des agriculteurs, délivrant des cours d'agronomie, développant des activités culturelles (théâtre, musique, littérature).



De son vivant, seulement deux des ses textes seront publiés: Le restaurant aux nombreuses commandes et les premiers versets de Printemps et Ashura. Il publie les textes précités à compte d'auteur. Poète de l'ombre et écrivain foisonnant, il ne sera ainsi pas connu du grand public de son vivant et ne vivra pas de son écriture. La dureté et la pauvreté de la région dans laquelle il vit,la disparition de sa jeune soeur, auront une forte influence sur son oeuvre. Le thème de la disparition précoce de l'être cher transparaît souvent dans ses nouvelles, que ce soit dans "Train de nuit dans la voie lactée", ou dans l'hommage à la Malibran. Il tombe gravement malade en raison d'une pleurésie mal soignée et retourne alors auprès de sa famille. Il succombe d'une tuberculose le 21 septembre 1933, à l'âge de 37 ans. Ses oeuvres ne connaîtront le succès que bien après sa mort. La grande majorité de l'oeuvre de Miyazawa a été publiée à titre posthume et il est alors reconnu par la critique pour devenir l'un des auteurs les plus lus du Japon. Son oeuvre complète en langue japonaise comprend 16 tomes. Elle est très diversifiée, se répartissant entre la poésie ( sous des formes traditionnelles, classiques ou libres), les contes (une centaine) et des essais. Certaines de ses oeuvres ont été éditées au Japon en format pour jeune public.

                            Journaliste

- Kenji Nagai (27 août 1957 – 27 septembre, 2007) est un photojournaliste japonais tué par balles en Birmanie pendant les événements politiques de 2007 en Birmanie. Nagai a continué à prendre des photos après avoir été touché. Il meurt peu après des suites des blessures par balles qu'il avait reçues à la poitrine. Il fut la seule victime étrangère de la répression des manifestations populaires.



                            Ecrivain / Mangaka

- Kenji Nakagami, 1946 - 1992 est un écrivain japonais. Il est né dans la ville de Shingû , dans la région côtière de Kumano et son existence a été marquée par son ascendance burakumin, équivalent japonais de paria. Il a grandi dans des conditions difficiles dans la région de la péninsule de Kii, qui est le théâtre de plusieurs de ses oeuvres. Après ses études secondaires, il part pour Tôkyô, où il vit de divers métiers manuels. Il publie ses premières nouvelles en 1973. En 1975, il est le premier écrivain né après guerre à remporter le prestigieux Prix Akutagawa pour son roman Le Cap . Il meurt d'un cancer du rein en 1992.



- Kenji Ôiwa est un mangaka japonais. Un mangaka est un auteur de manga, bande dessinée japonaise. Il commence sa carrière en illustrant un roman d'Otsuichi, GOTH, qui parle de deux collégiens avec une même passion pour les meurtres violents. On lui doit le manga NHK ni yôkoso!, sa seule œuvre majeure connue jusqu'à présent, aussi adapté d'un roman. Il sérialise dans Shônen Ace.

                              Ingénieur

- Kenji Kawakami est un ingénieur et designer japonais, créateur du chindogu. Le chindogu est l'art japonais d'inventer des gadgets « utiles mais inutilisables ». Kenji Kawakami est diplômé en aéronautique. Il débute en tant que scénariste de dessins animés dans les années 1960. Dans les années 1980 il dirige le magazine japonais de consommation Tsuhan Seikatsu, dessine le Tokyo Bicycle Museum (Musée du vélo de Tokyo), puis crée le mouvement chindogu. Il a écrit cinq livres concernant le chindogu, a créé la Chindogu International Society et anime une émission télévisée au Japon.



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